Première chronique de Taylor : Rétrospective Batman Arkham 31 janvier 2015


 

Rétrospective :

 

 

Batman Arkham

 

 

 

 

 

Le vaste univers du super-héros Batman a été adapté plus de 50 fois en différents jeux, sur différents supports. Les derniers en dates sont la trilogie des Batman Arkham, dont voici la rétrospective.

 

 

Je préfère vous prévenir d'entrée de jeu, chers lecteurs/lectrices, que j'aime beaucoup l'univers et les personnages de Batman, cette critique sera donc forcément quelque peu subjective. J'essaierai néanmoins de rester le plus objectif possible concernant les aspects techniques et scénaristiques des 3 jeux qui feront l'objet de ma chronique. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Premier jeu de la licence, développé par le studio Rocksteady et sorti en août 2009, ce nouveau jeu Batman fait l'effet d'une bombe, accueilli tel le messie par la presse et par les joueurs, il obtiendra même un record dans le Guiness Book pour le jeu le mieux noté de tout les temps.

 

 

L'histoire :

Le jeu commence alors que notre protagoniste vient tout juste de capturer son ennemi juré, le Joker, afin de le confier à l’asile psychiatrique terrifiant d'Arkham, situé sur une île au large de Gotham. Jusqu'ici, tout va bien.

Mais en accompagnant l'horrible Joker dans sa cellule, la mystérieuse et séduisante Harley Quinn, complice de ce dernier, réussi à neutraliser la sécurité afin de libérer son cher « Mr J ». 

Batman comprend alors que tout était planifié pour le piéger.

Le Joker menace même de faire exploser les bombes qu'il à placé au préalable dans Gotham si quiconque s'approchait de l'asile.

 

Le décor est planté, nous sommes quasiment seul dans un asile hébergent les plus dangereux criminels de Gotham, et nous devons rapidement mettre un terme aux agissements sordides et complètement fou du Joker. 

Le jeu commence ici, dans un couloir de l'asile, ou notre premier objectif est de trouver un précieux allié ; le commissaire Gordon.

La suite de l'histoire, que je vous laisserez le soins de (re)découvrir par vous-même, est digne de son héros, mêlant séquences d'actions effrénées, recherches de preuves à la manière d'un détective, phases de combat planifiées et discrètes, ressemblantes quelques fois a certaines missions d'Assassin's Creed.

Le tout accompagné d'une musique parfaitement adaptée à l'once de folie qui nous menace.

La qualité de son scénario est un grand atout du jeu, il nous tient en haleine du début à la fin.

Vous savez, ce genre de jeu ou vous pensez faire « une dernière mission » avant d'aller vous coucher, et qui fini par vous prendre sans crier gare la moitié de votre précieuse nuit.

 

La qualité visuelle du jeu

 

Bien qu'un peu vieillot à l'heure des nouvelles générations de console, les graphismes du jeu son plus que correct, et nous font nous sentir complètement immergé dans cet univers très sombre et fidèle à son matériau d'origine.

Le contraste entre la noirceur de l’île, les couleurs, la démence enfantine du Joker et la froideur de l'asile n'en est que sublimé. On notera quand même des textures un peu laides à certains endroits, notamment l'herbe présente sur l'île et certaines plantes par la suite. 

Gameplay

 

La barre est placée très haute à ce niveau. En effet, les mouvements de Batman sont très rapidement pris en mains, et le jeu offre une constante évolution des actions possibles au travers de compétences et gadgets acquis au fil du jeu (système de level du héros).

Comment parler du Gameplay sans évoquer les combats ?

La encore, la qualité du jeu et le travail de Rocksteady se ressentent pleinement, et nous font vibrer de plaisir. Les coups portés par notre héros sont juste magnifiques, les chorégraphie d'arts martiaux s’enchaînent parfaitement, dans une violence rarement vue dans un jeu de super-héros. 

Seul petit bémol, l'IA des ennemis, qui est parfois vraiment stupide. La difficulté réside donc plus dans la force de leurs nombre. Mais il y a des limites à la perfection, et si les combats sont esthétiquement hors du communs, ils deviennent vite répétitifs et faciles, et le level-design des salles remplient de truands armés qu'il faut éliminer silencieusement un par un, bien qu’extrêmement jouissif au début, subit le même défaut.

Je finirais tout de même cet épisode par une note positive en parlant des personnages et des doublages, qui collent parfaitement à l'ambiance sombre et hystérique de cet opus. Les voix, et en particulier celle du Joker, sont adaptées et grandioses.

 

Pour conclure, je dirai que ce premier volet est l’œuvre d'un travail accompli par un studio qui a vraiment eu l'envie d'apporter quelque chose à l'univers de Batman, quelque chose de sombre, de dément et de puissant.

 

Vous l'aurez compris, j'ai franchement beaucoup apprécié ce jeu, et je le recommande fortement à ceux qui aiment le monde de Batman, mais aussi à ceux qui souhaitent découvrir un jeu riche et abouti, autant en terme de scénario que de jouabilité.

 

 

 

 

 

Passons maintenant au second volet de la trilogie : Batman Arkham City

Cet opus, toujours créé par le studio Rocksteady, est cette fois-ci édité par

Warner Bros.

Également très bien accueilli par la presse et les joueurs, il sera même élu « jeu de l'année ».

Chronologiquement, cet épisode se situe un an et demi après les événements de Batman Arkham Asylum.

 

L'Histoire

Quincy Sharp, l'ancien directeur d'Arkham Asylum, récolte les lauriers pour la capture du Joker et des autres criminels présents lors des émeutes de l'asile. Grâce à cette nouvelle notoriété, il accède au poste de Maire de Gotham.

La prison de Gotham, Blackgate, ainsi que l'asile d'Arkham étant hors services suite aux émeutes du précédent opus, Quincy Sharp décide de créer une zone de quarantaine, de la taille d'une petite ville, pour tout les criminels de la ville, où ceux-ci pourront être libres de leurs actions, tant qu'ils n'essaient pas de s'enfuir.

 

Encadré par de gros murs d'enceintes et surveillés par une unité spéciale dénommée TIGER, cet endroit est baptisé Arkham City (suite logique d'Arkham Asylum).

 

Bruce Wayne, alias Batman, tente de faire fermer cet endroit malsain en utilisant sa véritable identité, par le poids des mots.

Malheureusement (ou heureusement pour nous, joueurs), lors d'un discours de celui-ci devant les portes de la ville/prison, Bruce se fait capturer et interner à Arkham City, dirigé par l’inquiétant psychiatre Hugo Strange.

 

C'est ainsi que le jeu commence, lâché dans la ville qui regorge des plus grand criminels, le Pingouin s'empare rapidement de nous, jusqu'ici sans costume ni gadget.

En deux-t-en trois mouvements, naturellement, les hommes du Pingouin sont maîtrisés et nous parvenons rapidement à fuir dans la vaste fosse aux lions qu'est Arkham City.

Envoyé par Alfred, notre fidèle majordome, notre costume et une partie de nos gadgets nous sont restitués, par l’intermédiaire du Batwing (sorte d’hélicoptère de Batman).

 

Nous devenons ainsi le super-héros masqué Batman.

 

 

 

Entendant rapidement parler d'un « protocole 10 », notre protagoniste se retrouve pris au piège par …

Le Joker, évidemment.

Celui-ci est gravement malade, suite à la forte dose de « Toxine Titan » ingéré dans le premier volet, et, par transfusion sanguine, nous transmet ce virus mortel.

Le but de l'opération du Joker est de nous motiver à trouver un remède au plus vite pour lui, mais aussi pour nous, maintenant que le produit est dans notre corps.

 

Le ton est donné, nous sommes donc en danger de mort si nous ne trouvons pas comment synthétiser un antidote rapidement, tandis que le mystérieux « protocole 10 » d'Hugo Strange, le directeur d'Arkham City, nous inquiète de plus en plus.

 

Une histoire donc plus complexe que celle du premier épisode, que je vous invite à découvrir de bout-en-bout en vous procurant le titre.

 

 

La qualité visuelle du jeu

Pour ce qui est des graphismes et des textures, pas de différences significatives entre les deux premiers jeux de la série. Toujours très sombre et agréable à regarder, sans être non plus hallucinant par sont réalisme, Batman Arkham City reste dans la continuité de son prédécesseur, à savoir : Plutôt joli.

 

Gameplay

Le concept du gameplay dynamique et visuel du premier jeu ayant parfaitement marché et séduit les joueurs, pourquoi se casser la tête à essayer d'en faire quelque chose de différent ? C'est sûrement la question que s'est posé les studios Rocksteady en créant Arkham City. Bien évidemment, des choses nouvelles ont été apportées pour permettre une meilleure adaptation du héros à son environnement, comme l’accélérateur de grappin, qui nous offre la possibilité de nous déplacer plus vite, puisque le terrain de jeu est beaucoup plus vaste. Quelques ajouts esthétiques, notamment sur les combats, ainsi que quelques gadgets supplémentaires feront également leurs apparitions. Ces légères modifications suffiront-elles à nous faire aspirée par le titre ? Oui, oui oui oui.

En effet, pas besoin de changer au jeu ce qui fait sa plus grande force, si ce n'est quelques détails.

 

 

Les musiques et les doublages sont toujours très adaptés et brillamment interprétés.

 

 

Pour conclure, cet opus est vraiment dans la lignée et la continuité parfaite de son prédécesseur. Sombre (oui, ce mot revient souvent), anarchique et riche, tels sont les trois mots qui me viennent à l'esprit pour résumer ce Batman Arkham Asylum.

 

Une fois de plus, les studios Rocksteady arrivent à nous transmettre tout le talent et l'implication de ses équipes en un jeu certes similaire à Arkham Asylum dans le fond, mais avec une nouvelle identité dans la forme.

 

 

 

 

 

Troisième et dernier volet de cette rétrospective : Batman Arkham Origins

Cette fois-ci, c'est Warner Bros qui prend (entièrement) les commandes. Le jeu met relativement longtemps à se développer, ce qui suscite une attente énorme de la part des fans de la série. Arkham Origins finit par sortir le 25 Octobre 2013 et n'est pas au goût de tout le monde.

 

 

L'Histoire

D'un point de vue chronologique, cet opus est une pré-quelle aux autres jeux, puisque la trame se déroule environ six ans avant les événements de Batman Arkham Asylum. C'est ainsi que nous découvrons un Batman jeune (mais pas inexpérimenté pour autant), se livrant à quelques combats afin d'empêcher l'évasion massive de nombreux criminels de BlackGate, la prison de Gotham et surtout celle de Black Mask, le leader du groupe.

 

Notre Batman, hantant les nuits de Gotham depuis seulement 2 ans, n'est pas encore considéré par les forces de l’ordre comme le héros qu'il est, et ces derniers ont pour mission de le capturer pour interrogatoire. C'est en battant et interrogeant le premier « boss » du jeu (déjà !) KillerKrock que Batman découvre une bien sordide affaire. Black Mask, le criminel que nous recherchions dans la prison s'est enfui, et à mis un contrat de 50 Millions de Dollars sur notre tête.

 

Le message : Une nuit pour tuer le Batman.

 

 

 

 

 

 

Info qui s'est vite rependue auprès des plus grand méchants de l'histoire de Batman, dont celui-ci ne connais qu'une partie d'entre eux. Nous rentrons donc dans la Batcave dans les fondations du manoir Wayne (première apparition de cette dernière dans la saga) afin d'en savoir plus sur nos futurs camarades de combats.

 

Une introduction rapide donc, mais diablement efficace ! Nous savons à présent que 8 super-vilains avides d'argent et de sang nous traquent. Ah oui et c'est Noël, au passage !

 

La suite du scénario est agréable, sans être grandiose comme l'ont pu être ses ancêtres. Le final est, à mon humble avis, décevant, alors que l'entrée en matière promettais et offrais la perspectives de belles choses. Je m'arrête là, car je ne voudrais pas vous gâcher le plaisir de découvrir cette histoire, qui vaut tout de même largement le détour.

 

 

 

 

 

La qualité visuelle du jeu

Une belle amélioration de ce côté, puisque le jeu semble plus réaliste et encore plus sombre, ce qui donne un contraste à la ville joyeusement décoré par les traditionnelles babioles de Noël.

Plus beau, plus vivant, et avec peu de bugs, le jeu continue de nous faire plaisir à ce niveau. Les cinématiques sont très belles, dignes d'un bon film d'animation.

 

Et Gotham enneigé, ça a de la gueule.

 

 

Gameplay

C'est là qu'il y a un hic.

Les mécaniques de jeux des deux premiers volets étaient excellentes et en ont surpris plus d'un, mais fallait-il reproduire à l'identique le gameplay d'Arkham City pour autant ?

Certes celui-ci était vraiment bon, mais n'aurait-il pas été possible de glisser ne serais-ce que deux ou trois ajouts ?

Deux ou trois mouvements, gadgets ou chorégraphies ?

 

J'aurais aimé qu'Arkham Origins,à la manière du deuxième opus, qui conservait l'essence d'Asylum en la saupoudrant de quelques nouvelles fioritures bien appréciable, se démarque un minimum.

 

On ne peut pas dire qu'il est mauvais, car ses prédécesseurs ne l'était pas, mais il manque cruellement d'une petite touche de fraîcheur.

Malgré ça, la ville est sublime, Gotham toute entière cette fois ci, est à notre disposition pour notre plus grand plaisir.

Sans être gigantesque, la carte offre un bon terrain de jeu, et la mise en scène des combats est toujours aussi belle.

On regrettera tout de même, à l'heure de jeux open-world très riches (je pense très fort à un jeu là, sortis un mois avant), que la Batmobile, la Batmoto ou encore le Batwing ne soit pas jouable.

 

 

 

 

Niveau sonore, on est toujours dans le haut de gamme, une bande son toujours aussi riche et des voix toujours aussi appropriées.

 

 

Pour conclure, Rocksteady n'est plus là, et ça se voit.

Le troisième opus de cette belle série n'est pas un mauvais jeu, loin de là.

Il s'appuie simplement sur la facilité de garder tout ce qui avait fait des deux premiers titres des jeux hors du commun.

Le scénario est bon, mais le final n'est pas à la hauteur.

Cela ne m'a nullement empêché de prendre beaucoup de plaisir à y jouer, mais la surprise était beaucoup moins présente que dans ses prédécesseurs.

 

Un bon jeu, somme toutes, mais en deçà des attentes générées par une saga qui nous avait habitué à du haut niveau, du renouveau et de la surprise.

Batman Arkham Origins est intéressant pour son histoire, on y découvre des personnages à leurs origines, et on y voit une très belle Gotham sous la neige. Cependant, un manque de créativité se ressent beaucoup et malgré quelques mise en scènes grandioses, le jeu peine à nous épater.

 

 

Rétrospective :

 

 

Batman Arkham

 

 

Ce que vous avez pu lire ici est mon avis de l'ensemble des jeux Batman Arkham, il ne sera donc pas forcément en accord avec le votre. Cependant, en écrivant cette première chronique un peu spéciale, j'ai voulu vous transmettre l'envie de rebrancher votre Xbox 360, votre ps3 ou votre PC pour y apprécier ces trois jeux, qui, pour une poignée d'euros maintenant, combleront joyeusement vos journées et peut-être même vos nuits.

 

Pour ceux qui n'ont pas eu l'envie ou la motivation pour lire toute cette chronique, en voici un petit résumé  :

Batman, ce super-héros sombre et mystérieux, fort et ingénieux, à une nouvelle fois été adapté en jeux vidéos. C'est le studio anglais Rocksteady qui ouvre le bal avec la claque que nous inflige Batman Arkham Asylum. Un scénario très appréciable et apprécié, un gameplay dynamique et visuellement hallucinant font de ce jeu un culte pour les amateurs.

 

Vient ensuite Arkham City, deuxième jeu développé par le même studio, qui prolonge l'asile d'Arkham à la ville d'Arkham, de manière extrêmement talentueuse, le scénario est riche et surprenant, l'ambiance toujours aussi sombre et les personnages toujours aussi diablement déjantés. Le gameplay garde les mêmes mécaniques, mais s'est enrichit en gadgets et en level design depuis le premier jeu. Arkham City est sûrement le plus abouti dans la série, même si certains joueurs (dont je fait partie), sont nostalgiques de la folie qui régnait dans Asylum.

 

Enfin, Warner Bros reprend les rennes pour le troisième volet de la saga ; Arkham Origins. C'est sûrement le moins bons des trois, non pas qu'il soit mauvais, le jeu n'a pas su se renouveler suffisamment et perd donc en originalité et en charisme. C'est tout de même un jeu très agréable et instructif quand aux origines de notre protagoniste et de ses ennemis.

 

 

 


Je n'attribuerai pas de notes à cette saga, ma critique étant déjà je pense légèrement subjective, je n'enfoncerai pas le clou en donnant de la manière la plus personnelle qui soit un jugement numéraire.

Je peux juste (encore une fois) vous recommander vivement ces trois jeux, et vous proposer de suivre mes chroniques à venir en attendant Batman Arkham Knight, le prochain et dernier opus de la saga Batman Arkham qui sortira le 2 Juin prochain, et dont je me ferais un plaisir de vous communiquer mon ressenti à chaud.

 

 

Merci à tous de votre lecture, je vous invite, par le biais de commentaires, à me faire part de vos impressions, sur le jeu mais aussi sur cette chronique.

A très bientôt,

 

Taylor.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Rédigé par , le 31 janvier 2015 18:44
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5 Discussion Première chronique de Taylor : Rétrospective Batman Arkham
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Fireben 2 février 2015 10:49

Pas trop fan des jeux vidéo tirés de l'univers des super-heros, que ce soit Marvel ou DC Comics je les preferes en bd, néanmoins j'ai pris beaucoup de plaisir a lire ta chronique sur ce heros emblematique et son univers qui ma foi me semble ici bien retranscrit. Tres jolie plume, continue comme ça et merci a toi  pour cette chronique . 

Taylor 2 février 2015 18:43

Merci ! Je suis content que ça te plaise ! Vos commentaires sont important et ça m'encourage beaucoup pour la suite ! Je n'ai pas encore décidé du sujet de la prochaine même si j'ai deux trois titres en tête ! N'hesitez donc pas si vous souhaitez voir un jeu en particulier (Xbox One du coup, celle-ci etait un peu spéciale) passer sur ma table d'opération ! Je bosse aussi sur un autre projet encore plus ambitieux pour le site, je vous donnerai plus d'infos en temps voulu, mais si tout se passe comme dans ma tête, ça risque d'être vraiment sympa ! 

Taylor 1 février 2015 17:55

Salut Maxime ! Merci à toi pour ce commentaire encourageant ! Il est vrai que c'est un gros pavé à lire, surtout si tu n'es pas un grand fan ! Tu es donc tout pardonné ;) C'est avec plaisir que je m'attaquerai au sujet de la prochaine :)

maxime N13 1 février 2015 19:33

Un gros pavé n'est pas "un gros pavé" pour un fan, si c'est des jeux qui interresse les gens la taille ne compte pas mais le contenue  compte lui .

 

Donc  à la prochaine chronique ou avant xDDD

maxime N13 1 février 2015 16:02

Salut , tout d'abord je tiens à souligner la bonne initiative de cette chronique et des prochaines que je vais surement suivre, car c'est plutot interrressant .

Alors j'ai lu en diagonal la chronique (autant etre honnete) car batman c'est pas mon truc ,mais c'est bien presenté( aéré, image ect), et les détails sont interressants ,j'ai bien aimé aussi le resumé de fin pour ceux qui ont lu en "gros"

Donc j'attends la suite xD

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